Two years ago, you’d have been forgiven for not knowing the name ‘Yannik Paul’.
Il y a deux ans, vous auriez été pardonné de ne pas connaître le nom de “Yannik Paul”.
At 27 years old, he was a young pro persevering on the Challenge Tour with hopes of making it to the ‘big time’. The likelihood of this happening must have seemed slimmer than a blade of grass due to countless others chasing the same goal.
À 27 ans, il était un jeune professionnel persévérant sur le Challenge Tour avec l’espoir d’entrer dans la “cour des grands”. La probabilité que cela se produise devait sembler plus mince qu’un brin d’herbe en raison du nombre incalculable d’autres personnes poursuivant le même objectif.
But despite golf being a slow game, the sport’s landscape changes undeniably quickly. Paul, now aged 29, is on the verge of securing PGA Tour membership through his Race to Dubai Ranking.
Mais bien que le golf soit un jeu lent, le paysage de ce sport évolue indéniablement très vite. Paul, aujourd’hui âgé de 29 ans, est sur le point de devenir membre du PGA Tour grâce à son classement à la Race to Dubai.
“I always felt like I was good enough to compete against the best players in the world,” said Paul.
« J’ai toujours pensé que j’étais assez bon pour me mesurer aux meilleurs joueurs du monde », a déclaré Paul.
“You’ve just got to get the right opportunities and take advantage of them.
« Il suffit de saisir les bonnes occasions et d’en profiter. »
“At the beginning of my career, I played in Canada and the US, and you can get a stuck a bit. If you don’t win you have to go to Korn Ferry Q-School and if you don’t get through you’ve got to wait another year. I have a good team around me so I’ve just continued to work on the right things and become better. A Challenge Tour chance came around in 2021 which I took advantage of that, and I’ve improved.”
« Au début de ma carrière, j’ai joué au Canada et aux États-Unis, et vous pouvez vous retrouver un peu coincé. Si vous ne gagnez pas, vous devez aller à la Q-School de Korn Ferry et si vous n’y arrivez pas, vous devez attendre un an de plus. J’ai une bonne équipe autour de moi, alors j’ai continué à travailler et à progresser. J’ai eu l’occasion de participer au Challenge Tour en 2021, j’en ai profité et je me suis amélioré. »
The German graduated from the second tier of European golf two years ago after amassing seven top ten finishes during the season. It was enough to secure a DP World Tour card for 2022 which he went on to take make the most of by winning the Mallorca Golf Open and finishing 12th in the Race to Dubai Rankings.
L’Allemand a quitté le deuxième échelon du golf européen il y a deux ans après avoir terminé sept fois dans le top 10 au cours de la saison. Cela lui a permis d’obtenir une carte du DP World Tour pour 2022, dont il a tiré le meilleur parti en remportant le Mallorca Golf Open et en terminant 12e au classement de la Race to Dubai.
“Now I’m at the stage when I’m out here getting paired with better players and you can see how they play,” added the 29-year-old. “You realise that a lot of things are even better in my own game so that gives me a lot of confidence.”
« Maintenant, j’en suis au stade où je suis associé à de meilleurs joueurs et où je peux voir comment ils jouent, a ajouté le joueur de 29 ans. On se rend compte que beaucoup de choses sont encore meilleures dans mon propre jeu, ce qui me donne beaucoup de confiance. »
A mere year ago, it would have been almost unthinkable for a German player to be competing for victories on a consistent basis. For the best part of a decade, the country’s golfing realm has remained subdued in the upper echelons of the sport. However, a fresh tide of momentum has appeared in recent times, propelling the nation towards a new era of prominence. Maximilian Kieffer’s victory at the D+D Real Czech Masters last season put an end to an eight-year dry spell for German golfers, and since then Marcel Siem, Nick Bachem along with Paul have all followed suit with their own triumphs.
Il y a à peine un an, il aurait été presque impensable qu’un joueur allemand puisse prétendre à des victoires régulières. Pendant la majeure partie de la décennie, le golf allemand est resté discret dans les hautes sphères de ce sport. Cependant, une nouvelle vague est apparue ces derniers temps, propulsant la nation vers une nouvelle ère de proéminence. La victoire de Maximilian Kieffer aux D+D Real Czech Masters la saison dernière a mis fin à huit années de disette pour les golfeurs allemands, et depuis, Marcel Siem, Nick Bachem et Paul ont tous suivi le mouvement avec leurs propres triomphes.
